PhiloPapy

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C12_Emboîtements.

Ì  C12_Emboîtement.: la causalité / le déterminisme. ?

 

Quand j'essaie de rédiger quelques idées à propos de la connaissance, après 85 ans d'existence presque autant de réflexion philosophique, je n’accouche finalement que de cet article protéiforme à à l’aide de ces idées qui se bousculent dans ma tête et de ma tête à ma main qui écrit.

Premier constat la plupart d'entre elles me viennent d'autrui : si je n'avais pas lu Bachelard sur le sujet, les quelques propositions que j’énonce maintenant n'existerait pas. Dès les premières lignes, dans cette bousculade, ordonnée et désordonnée (Edgar Morin) par allusion aussi au passage connu entre chaos et logos chez les Égyptiens.

 

Je pose, mains sur la feuille, ou plutôt je propose la formule suivante : la philosophie est langage ou bien = le langage.

Proposition que personne ne contestera au nom du sens commun. Ça y est, le train est reparti avec sa loco et ses wagons. Le train ? Bonne image pour l'enchaînement « cause à effet »

Mais tout de suite, avec les conditionnements subis, il me vient une formule inventée par des philosophes. Descartes, au plus certainement Kant ou Bachelard. C’est le « sed contra » = mais à l’opposé, de St Thomas d’Aquin.

Cette idée, c’est qu’une suite ou une consécution de phénomènes n'est pas forcément la garantie qu’il s’agit d’un lien de causalité. Sauf si on est Dieu ou Laplace avec son fameux théorème.

Au maximum selon lui il faudrait convenir que le monde fonctionne selon ce principe.

« Tout, dans la nature, obéit à des lois. Tout en dérive aussi nécessairement que le retour des saisons, et la courbe décrite par l’atome léger que le vent semble emporter au hasard  est réglée d’une manière aussi certaine que les orbes planétaires. Une intelligence qui pour un instant donné connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d’ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données  à l’analyse, embrasserait dans une même formule les mouvements des plus grands de l’Univers et ceux du plus léger atome. Rien ne serait incertain pour elle, et l’avenir comme le passé serait présent à ses yeux. »

C’est ce qu’on pourrait appeler : « le principe du déterminisme absolu ». On pourrait alors parvenir grâce à lui au rêve cartésien d’une mathématique universelle expliquant tout ce qui se passe dans l’univers. Là, l’image de la loco roule parfaitement. Ce n’est qu’éléments et relations : wagons reliés nécessairement à elle par quelque moyen mécanique.

 

J'ai failli écrire obligatoirement à la place de nécessairement. Mais le vigile (logique des règles et des connaissances acquises) est la pour imposer m’imposer ses stéréotypes : « obligation », c’est en la morale, la science c'est de la « nécessité ». Encore un truc pas réfutable à cause des conditionnements logiques absorbés au cours de l'existence. On agit en suivant des principe s ; Deux émergent  souvent : celui de pertinence et celui de cohérence. Est valide ce qui est conforme au réel et aux idées reçues, à la science établie ; est cohérent ce qui ne heurte pas trop les modes de raisonnement admis dans notre société.

 Digression (en principe interdite = en rouge dans la marge) J'ai un petit-fils en préparation et la présente augmentation d'idées ressemble un peu à ce qui se passe dans le ventre de sa mère en ce moment et donc dans le tissu insondable des relations entre elle et lui pendant neuf mois.

Cette digression, c'est un peu comme un déraillement mais les agents de la SNCF. opèrent et remettent le train sur les rails. Ces agents ont pour noms : société, histoire générale et personnelle, conditionnements, sens commun idées reçues … Bien sûr, il faut admettre des pertes, des déchets : 7 % dans l’armée pour le matériel, 10 % à l’école avec l’illettrisme … Tiens, on est plus sévère dans une institution que dans l’autre.

 

Ne chose apparaît cependant : Rimbaud a raison : non « je pense », mais « on me pense ». Manie de prof. : je dois t’expliquer que ça s'appelle une connaissance « transversale » ou « opératoire » Je la place, sur ce site, dans le chapitre « ponzauzânes ».

Où en suis-je, en TGV ou en déraillement ? Petite inquiétude : ce n'était pas tout à fait ce que je voulais dire quand j'ai pris la plume-stylo-pointe-Bic : conditionnement markéting pour pouvoir produire cet écrit dans ta direction. Le vigile et agent ferroviaires s’appelle dans le jargon philosophique « la conscience critique ». Tiens encore un truc scolaire ou socioculturel pour faire plus savant. Je donne dans le vocabulaire kantien ; ça fait nettement plus sérieux.

 

Je reviens vite à mon point de départ sinon il va y avoir encore nécessité d'une remise sur les rails. Apprécié l'usage des familles de mots : préfixe « dé » + rail = déraillement.

 

Normalement la voie ferrée que j'avais prévu de suivre, c’était :

 

  1. Première idée la philosophie est langage ou est constituée par le  langage.
  2. souvenir récent Bachelard : je viens de relire le passage sur  les obstacles épistémologiques.
  3. l’article choisi en fonction d’une représentation de l’ensemble s’appellera : « emboîtement ». J'étais bien content d'avoir trouvé ce titre au démarrage de mon travail, maintenant j'ai quelques inquiétudes concernant sa pertinence dans le  désir de  faire savant.
  4. c'était le thème de la causalité que l'on peut énoncer ainsi :  X entraîne Y », la loco traîne les wagons car elle ne sait (ou ne peut faire que ça.
  5. On peut appeler cela : causalité, déterminisme, nécessité …
  6. Au passage j’en profite pour « placer » Laplace. (pas prévu au départ)
  7. ce que je viens d'écrire me conforte dans l'idée que la philosophie est bien fondée sur le langage.

 

 

Facile à démontrer fait un également : il y a pas de philosophie sans expression communication.

(Encore un de mes dadas : l'une, n'est pas l'autre

en ce moment j'écris c'est-à-dire je m'exprime mais je ne suis pas forcément en train de communiquer car il y a entre guillemets toi et moi » comme intention et comme obstacles. Zut j'avais oublié le troisième homme inévitable celui-là : Bachelard nous formons donc un ménage à trois.

Le vigile logique veille plutôt se réveille pour me murmurer à l'oreille que emboîtement n'est pas le terme qui convient.

En effet quand on emploie on a dans l'esprit des poupées gigognes. Or ce que je viens d'écrire pourrai à la ligue à la rigueur s'appeler enchaînement n'est pas emboîtement incident non philosophique : stylo perdu, rupture de la chaîne cerveau aux mains écrits.

Et la causalité entre sa ? C'est une liaison pour l'instant assez flou entre un phénomène est un autre. Et encore en simplifiant beaucoup puisqu'il s'agit la plupart du temps au départ de phénomène au pluriel en liaison avec d'autres phénomènes. Ça ne simplifie pas les choses mais la réalité comme ça et on doit bien accepter.

Progressons quand même les types de liens existent ville entre X et Y de ? J'en vois trois à l'horizon ou plutôt quatre : les liens pratiques ce dont je vis à longueur de journée sinon je serais mort. Des liens dialectes par l'usage du langage Des liens logiques logique aux mathématiques c'est ce qu'on apprend l'école. : idem  des liens logiques et des liens expérimentaux comme on me les présente dans les sciences.

Quels sont les liens épluchures entre les quatre ? Vaste question.

La voix logique du moins à l'école paraît la plus sur : on suit Descartes à la lettre, on bricole avec des algorithmes et le tour est joué

 

tiens encore liaison du type concept de flottant : les intentions, mon écrit actuel, les automatismes langagiers, ou socioculturel donne des formules qui se veulent logiquement acceptables.

Cependant il faut prévoir des déraillements possibles. En utilisant que débat philosophique à la SNCF peu de voyageurs arriverait à destination. N.B. : par la voix expérimentale ça n'empêche pas les retards et les pannes. Encore une langage une gaffe sur le plan du langage au lieu de d'employée destination j'allais écrire port arrivé à bon port mais là c'est pour les bateaux donc ce n'est ni pertinent cohérent.

Image de départ que je croyais intéressantes et probablement fausse. Il s'agit simplement d'enchaînement très large si le vigile n'intervient pas trop.

En tout cas ça n'a rien des poupées gigognes.

Donc je te propose-impose de la conserver comme titre de cet article puisque dans nos communications électroniques par site interposé il y a une part de séduction et de marketing que je n'ai pu éviter. Si le par la méthode je suis peu suivi. Si l'emploi un titre plus design ça marche mieux je ne suis pas sûr au final que ces quelques lignes et aider à mieux comprendre ce que les philosophes appellent la causalité

.

Mais au moins une introduction est faite que tu liras peut-être jusqu'au bout et ce sera déjà un point acquis sur le plan propositionnelle et communication elle. Je ne suis pas sûr que tu apprécieras ces deux adjectifs mais je n'ai pu résister au plaisir de te les livrer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



21/12/2012
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